L’obscurité. Toujours. Cette noirceur qui m’entoure. Toujours. Ce sentiment de perte. Perte de repères. Perte de soi. Puis, ces mains sans visages qui me touchent, qui me traînent vers un fond que je ne vois pas. La peur. Toujours. L’abandon. Toujours. Je ne peux plus lutter. Je n’en ai plus la force. À quoi bon lutter ? Je suis soumis à ces individus qui me m’attirent vers une plus grande obscurité. Ils me laissent leurs marques, telles des brûlures sur ma peau. Ils s'esclaffent d’un rire cruel. Ils savent déjà qu’ils ont gagné. Des voix fusent. Réminiscence d’une vie antérieure qui n’est plus la mienne.
« Réagis pas comme ça. S’il a fait ça, c’est parce que… » dit une voix d’homme que je n’arrive pas à identifier.
« J’en ai rien à foutre de savoir pourquoi il se comporte comme un con, » répond une autre voix colérique.
J’ai l’impression de la connaître. Mais je n’arrive pas à me souvenir. Ma peau me fait de plus en plus souffrir. J’essaye de m’accrocher, de résister pour entendre ces voix qui s’éloignent.
« Allez, babe. Tu ne vas pas m’en vouloir pour ça ! » fit une autre voix d’un ton amusé.
« Toi ! » s’énerve la deuxième voix. « C’est pas parce que tu m’as mis un doigt dans le cul que tu as le droit d’agir comme si je t’appartenais. »
La troisième voix rit. Elle a un son amer qui me retourne le cœur. Pourtant, j’essaye de tendre le bras pour les atteindre. Je ne veux pas laisser ses mains m’amener où elles l’ont décidé. Je ne veux pas me noyer dans cette obscurité. J’ai le sentiment que cette dernière voix est la seule qui peut m’amener vers la lumière, me sauver de cette noirceur qui m’engloutie. Je pousse un cri sous l’effort.
« Babe ! » fait la voix, soudainement inquiète.
Je m’assois brusquement dans le lit, le souffle court. La pièce est plongée dans l’obscurité. De rares lumières de la ville transparaissent par la fenêtre. Mes yeux s’habituent peu à peu au manque de luminosité tandis que les battements de mon cœur ralentissent pour prendre un rythme normal. Je prends peu à peu conscience de mon corps. J’ai la peau chaude et moite de sueur. Je me souviens. Je soupire bruyamment. Un cauchemar. Encore. Je n’arrête pas depuis quelques temps.
J’entends la respiration régulière du corps étendu à mes côtés. Ce corps inconscient de ce qui l’entoure. C’est toujours la même chose. Pourquoi je reste avec lui ? Je n’ai pas envie de le regarder. Je détourne les yeux. Je repousse les couvertes et m’assoie au bord du lit. Je prends un temps pour remettre mes idées en ordre. Je me lève et me dirige vers la salle de bain. Je ferme la porte derrière moi et allume la lumière. Je vais directement sous la douche, et je tourne les robinets. L’eau est froide. Je la laisse marteler ma peau nue. Je pousse un gémissement de contentement. Je m’appuie contre le mur de la douche. L’eau refroidie mon corps. Je me laisse submerger par ces sensations agréables.
Je n’arrive pas à me sortir toute cette histoire de la tête. Je ne me souviens plus comment ça a commencé. En fait si, je me souviens pertinemment comment tout ça a commencé. C’était une stupide blague, un malentendu que j’aurai pu clarifier. Mais voilà, je ne l’ai pas fait.
Olivier et moi étions amis depuis notre première année de lycée. Il était hétérosexuel. Il avait une petite amie, la plus populaire auprès des garçons. Il n’était pas mal courtisé lui aussi. Il m’attirait et, étrangement, je savais que je l’attirais aussi. Il savait que j’étais gay, et cela était devenu une excuse pour fleureter avec moi sous le couvert de la plaisanterie. Il ne s’était jamais rien passé entre nous, et malgré le fait qu’il me plaisait, je n’avais pas l’intention de changer cet état de fait. Pourtant, je continuai de le draguer, tentant de le repousser dans ses retranchements. Mais il était bien trop sûr de lui pour être choqué par ce que je pouvais faire ou dire, et il s’amusait autant que moi de mon comportement à son égard. Nous jouions ce jeu de séduction en toute innocence, sachant indubitablement que ça n’irait jamais plus loin.
Et pourtant, ce jour arriva, ce jour fatidique qui allait changer ma vie à jamais, qui allait faire de moi ce que je suis aujourd’hui, et qui, s’en doute, m’empêcherait de faire, un jour, de nouveau confiance à quelqu’un.
C’était parti d’une banale conversation. Nous avions un contrôle de mathématiques le lendemain et il était bien connu qu’Olivier n’était pas très doué dans cette matière. Je l’avais aidé à réviser à plusieurs reprises. Aussi, ce ne fut pas étonnant qu’il me demandât de venir chez lui, sans doute pour l’épauler encore dans ses études. J’aurais pu dire « oui », tout simplement, et tout cela ne serait pas arrivé. Au lieu de ça, je restai coincer dans notre petit jeu de séduction et levai les yeux vers lui, le sourire en coin.
« Combien tu me donnes ? » demandai-je.
Il me regarda, interloqué, d’abord, puis il eut un sourire séducteur sur le visage.
« Cinquante euros. »
Il avait répondu d’une voix assurée, comme si je ne valais que cinquante euros et que je ne devrais pas m’en plaindre, comme si coucher avec lui valait tout l’or du monde. C’était ridicule. J’aurai pu lui dire que je plaisantais. J’aurais pu tout arrêter, mais je ne l’ai pas fait. Je voulais voir jusqu’où il était prêt à aller. Je voulais voir si je ne m’étais pas trompé quant à l’effet que je faisais sur lui. Alors, j’ai accepté. C’était un peu à celui qui baisserait les yeux en premier, celui qui n’aurait pas le courage de continuer.
Il me tendit la main. Je la pris, et il m’aida à me relever. Il aurait alors pu me lâcher, mais il ne fit pas. Il la garda dans la sienne jusqu’à chez lui. Personne n’essaya de nous arrêter ou de nous interpeler lorsque nous traversâmes les bâtiments et la cour. Nous nous arrêtâmes à un distributeur. Je ne fis pas attention à ce qu’il faisait tandis qu’il retirait de l’argent. Je ne m’en formalisai pas. Je ne fis pas le lien entre ce qui avait été dit et ce qu’il était entrain de faire. Il m’amena chez lui.
Alors qu’il insérait les clefs dans la serrure, mon cœur commençait à battre la chamade. Je prenais peu à peu conscience de ce que nous nous apprêtions à faire. Mais allait-il réellement le faire ? En était-il capable ? J’étais nerveux. Cela ne semblait pas être son cas. Il avait la même attitude qu’à son habitude, sûr de lui, confiant en ce qu’il faisait.
Il me surprit quand il me tira à l’intérieur, me planquant contre le mur de l’entrée, fermant la porte d’un coup de pied. D’un même mouvement, il se pencha sur moi et m’embrassa avec fougue. Il ne sembla pas gêner par le fait que je sois un homme tandis qu’il enfonçait sa langue dans ma bouche. Je gardai les yeux grands ouverts sous l’effet de la surprise. J’observai son visage si près du mien. Ses paupières étaient clauses, ses longs cils noirs chatouillant ses pommettes hautes. Cependant, aucune nervosité ou dégoût ne transparaissait. Il m’embrassait avec envie, caressant ma langue de la sienne avec sensualité. Son baiser était exquis. J’avais envie de me laisser aller entre ses bras puissants, pourtant quelque chose me retenait.
Je le repoussai gentiment. Il me regarda interloqué. Je ne savais pas vraiment quoi dire. Je ne savais pas quoi faire. J’étais celui qui hésitait. Je me plongeai dans ses prunelles noisette, tentant de lire ses pensées. Je n’arrivai pas à les atteindre.
« Quoi ? » finit-il par demander.
Il était si proche que je pouvais sentir son souffle chaud contre ma peau. Il était excité. Il me semblait haletant, pressé. Et sans vraiment y réfléchir, je fis la seconde plus grosse erreur de ma vie.
« Et mes cinquante euros ? »
Il sourit d’un air que je ne lui connaissais pas. Il sortit quelque chose de sa poche et la plaça dans ma main. Je penchai la tête. Je vis un morceau de papier aux couleurs orange, virant sur la marron. Un billet de cinquante euros. Il l’avait fait. Le morceau de papier me brûlait la peau. Je me sentais acculé. Plaqué contre le mur, je n’avais plus aucun moyen de reculer, au sens propre comme au figuré. Je le regardai. Ce sourire qui m’était inconnu ne quittait pas son visage.
« On y va maintenant ? »
J’avais la bouche bée. Je ne savais plus quoi dire pour y échapper. Avais-je vraiment envie d’y échapper ? Il profita de ma perplexité pour me prendre une nouvelle fois la bouche.
« Ne t’inquiète pas. Je serais très doux, » murmura-t-il, son souffle chaud caressant mes lèvres offertes.
L’avait-il déjà fait avec un homme ? Savait-il ce qu’il faisait ? Ce genre de questions traversa mon esprit avant qu’il ne se vidât complètement alors qu’il m’embrassait à nouveau. Je me laissai gagner par son désir. Je l’entourai de mes bras, le plaquai contre mon corps, approfondissant notre baiser. Je perdais pied. Il venait de gagner notre petit jeu. C’était la fin. Je le savais. J’étais son prisonnier, son esclave. Il pouvait faire de moi tout ce qu’il voulait. Il était le grand vainqueur, j’étais le perdant. Lui succomber était mon gage. Puis, honnêtement, qui se plaindrait d’un tel gage. Pas moi en tout cas.
Il avait un corps d’Apollon, musclé et halé. Plaqué contre ce mur, ses bras puissants n’avaient aucune difficulté à me faire quitter le sol. Il me prit par la taille et me souleva. J’enserrai la sienne de mes jambes. Il nous fit quitter le vestibule et nous amena dans une autre pièce. Tout entier consacré à ses baisers divins, je ne m’en rendis compte que lorsque je tombais sur le lit. Olivier s’allongea sur moi. Nos regards se croisèrent. Ses yeux, empreints de passion et de désir, étaient d’un bleu électrique à vous glacer le sang. Je passai une main dans ses cheveux, noirs de jais, et l’embrassai encore. Il était toujours coiffé en bataille, et cela lui donnait un air sauvage et négligé qui lui seyait bien. Derrière mes yeux mi-clos, je continuai à l’observer, prêt à ce qu’il stoppât tout d’un moment à l’autre.
Au lieu de cela, il glissa une main chaude et assurée sous mon tee-shirt. Je frémis à son contact. Pris par l’intensité de son désir, je l’imitai. Sa peau était brûlante. Je sentais les poils de son torse s’hérissaient sous mes doigts. La chaleur s’emparait également de moi. L’impatience se fit sentir, et je ne contrôlai plus mes mains qui commençaient déjà à défaire sa ceinture dans un cliquetis métallique. Je déboutonnai son jean et me faufilai dans son boxer avec envie. Je m’emparai de son début d’érection et commençai à le branler lentement. Olivier n’eut aucun mouvement qui m’incita à arrêter. Je le sentis sourire contre mes lèvres. Il quitta ma bouche et dessina un chemin humide jusqu’à mon cou, puis à mon oreille dont il mordit le lobe.
« Tu es pressé ? » murmura-t-il.
Je souris mais ne répondis pas, me laissant exalter par la douce torture de ses tendres morsures sur la peau de mon cou. J’accélérai mes mouvements sur son pénis engorgé. Lorsque je sentis ce dernier durcir entre ma main, je cessai mes caresses et baissai les vêtements de mon amant jusqu’à mi-cuisse. D’un mouvement rapide, je le fis basculer sur le lit afin de me retrouver sur lui. Olivier eut un petit rire satisfait.
« Tu es vraiment pressé, » affirma-t-il tandis que, le chevauchant, je me précipitai déjà sur son membre gonflé.
J’avais hâte d’y goûter. J’avais tellement envie de le sentir dans ma bouche, de le sentir s’exalter sous mes caresses. Cela faisait déjà presque trois ans que je fantasmais sur cet instant, sans, pourtant, oser espérer qu’il n’arrivât. Je donnais un premier coup de langue sur cette verge dressée par mes soins en lançant un coup d’œil à Olivier qui me regardait faire, un sourire coquin fendant son visage. Puis, il laissa sa tête retomber sur ses bras croisés. Je poursuivis mes caresses. Du bout de la langue, je remontai le long de sa verge jusqu’à son gland, et j’en suçotai l’extrémité. D’une main, j’enserrai sa verge et glissai jusqu’à mes lèvres, puis, je recommençai avec l’autre main. De ma langue, je m’appliquai à massai son gland suintant. J’entendis Olivier râler sous mes caresses que je poursuivais avec ardeur.
Je lui jetai un regard. Il se mordait les lèvres, sans doute pour ne pas gémir des cajoleries d’un autre homme. Je souris de satisfaction. À présent, il était ma chose. Je pouvais faire ce que je voulais de lui. Je le pris en bouche et le pompai fiévreusement. Mes mains continuaient leurs va-et-vient au rythme de mes lèvres. Quelques gouttes de sperme s’échappaient de son membre qui grossissait dans ma bouche. Je m’en délectai avec plaisir. Olivier tendit une main et la passa dans mes cheveux. Il m’incita à accélérer le mouvement en appuyant sur ma tête. Je ne me fis pas prié. Son anus avait des spasmes de bien-être.
Je souris encore en me rendant compte de cela. L’une de mes mains quitta sa verge et du bout du doigt, vint caresser son intimité. Je sentis Olivier se raidir. Il se redressa sur ses coudes.
« Hé, attends ! Tu fais quoi là ? »
Je relevai la tête pour lui sourire. Je pouvais lire sur son visage que mon idée ne l’enchantait guère. Cependant, je n’y fis pas attention. Je le pénétrai d’un doigt. Il poussa un cri de surprise et de douleur.
« Arrête ça ! » cria-t-il.
Son visage était marqué par la colère. Toutefois, je commençai à masser sa prostate. Je vis ses yeux rouler dans ses orbites et il retomba sur le lit dans un râle d’extase. Tout en continuant mes caresses sur ce point précis de son anatomie, je me remis à le sucer avec ferveur. Je le sentais venir. Il ne tarda pas à éjaculer dans ma bouche, des spasmes de plaisir secouant son corps. Je bus sa semence avec avidité. Il avait un goût amer.
Sa main, toujours dans mes cheveux, me tira jusqu’à lui. Il me sourit, la respiration haletante. De son autre main, il essuya les commissures de ma bouche d'où gouttait son sperme.
« T’es plus doué que Gina ! » me félicita-t-il alors.
J’eus un sourire amer à l’évocation de sa petite-amie. Cependant, je préférai la chasser de mon esprit.
« Je ne regrette pas les cinquante euros, » ajouta-t-il.
« Mais attends ! C’est pas fini. »
Je me penchai pour l’embrasser mais il détourna la tête. Je le regardai, perplexe.
« C’est bon pour moi, » fit-il en me repoussant pour se lever.
J’étais scié. Mis à part les cinquante euros, j’avais vraiment l’impression d’être une prostituée à cet instant.
« Tu devrais y aller, » dit-il en se rhabillant. « Gina doit passer ce soir. »
Cette dernière phrase me fit l’effet d’un couteau que l’on me plantât dans le ventre. Je ne m’attendais pas à ce qu’il quittât sa petite copine pour moi, juste qu’il l’a mît de côté le temps que nous nous soyons rassasiés l’un de l’autre. Or, il s’était rassasié bien plus vite que moi, apparemment. Une nausée soudaine me prit. Je me dégoûtais. Il avait fait de moi ce qu’il voulait, et à présent, me jetai tel un vieux vêtement dont on n’aurait plus besoin. Un goût amer m’emplissait la bouche et cela n’avait rien avoir avec son sperme.
Je quittai son lit et sa maison sans même lui jeter un dernier regard. Les larmes me montaient aux yeux. Je me sentais tellement humilié. Et j’avais la certitude que, plus jamais de ma vie, je ne ferais confiance à quelqu’un.
Hey, babe ! by LoalAnn est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de Modification 2.0 France.
Basé(e) sur une œuvre à lespetiteshistoiresdeloalann.blogspot.com.
contente de retrouver pour une nouvelle histoire ! dommage que tu es abandonnée parceque la vie n'est pas tjrs rose !
RépondreSupprimerC'est parce que l'amour n'est pas toujours rose et comme je l'ai expliqué, je ne pouvais pas la finir. Désolé pour ça...
RépondreSupprimerSinon, moi aussi, je suis ravie de te revoir.
Bonne année tout d'abord!!!
RépondreSupprimerPour la vie n'est pas toujours rose, l'as-tu vraiment abandonné ou juste mis en pause?
Le début de ta nouvelle fic. m'intéresse beaucoup. J'ai hate de voir comment va évoluer la relation des deux personnages et si Olivier est réellement un gars insensible.
Alors bonne année à toi aussi et ça fait plaisir de te revoir.
RépondreSupprimerEnsuite, c'est Parce que l'amour n'est pas toujours rose, et en fait, elle est en pause pour une durée indéterminée. Je ne sais pas si je pourrais la reprendre un jour ou non, mais en tout cas, pas dans l'immédiat. Donc, disons que je l'ai abandonnée.
Enfin, pour Hey, babe!, je suis contente que ça te plaise et pour Olivier (ATTENTION SPOILER NE PAS LIRE SI VOUS NE VOULEZ PAS SAVOIR!!!) on ne le reverra presque plus, il en serra fait rapidement mention dans le chapitre 3 normalement et c'est tout. Donc, désolé, tu n'en sauras pas plus sur lui. Le personnage vraiment important, c'est celui qui dort dans le lit et dont ne sait rien pour l'instant.
A bientôt j'espère.
Waw, j'aime beaucoup ce début ! Il est fort en émotions je trouve. J'ai vraiment accroché.
RépondreSupprimerHâte de lire la suite !
Bisous à toi
Merci Anonyme. Je suis ravie que ça te plaise. et pour la suite, elle est en cours d'élaboration. Je pense que le chapitre 02 devrait sortir d'ici la fin de la semaine. Mais je préfère ne pas me fixer de délais.
RépondreSupprimerAlors j'aime beaucoup ce nouveau début d'histoire et le lemon est vraiment bien. enfin pour l'instant Olivier est vraiment un e*foiré fini.
RépondreSupprimerSinon pour les fautes d'orthographe:
"J’avais hâte d’y goûté." c'est "J'avais hâte d'y goûter"
un peu avant il y a "Je sentais les poils de son torse s’irisaient" comme tu l'avais déjà fais une fois ses poils doivent plus tôt s'hérisser.
et plus bas: "De son autre main, il essuya les commissures de ma bouche dont goutté son sperme."
à la place de "de son autre main, il essuya les commissures de ma bouches dont (je crois que c'est d'où mais je ne suis pas sûre) gouttait son sperme"
voilà à part ça j'aime beaucoup et j'espère que ça se finira bien même si je le sens pas
Je vais pas te gâcher ton plaisir et te raconter la fin. Et merci pour tes remarques. J'ai fait les corrections.
RépondreSupprimerHey, ben écoute je suis tombée par hasard sur ton histoire et je dois admettre que je suis déjà totalement sous le charme, c'est un très bon début et sans plus tarder je vais aller lire la suite ^^
RépondreSupprimerMerci !!!
Hello !!
RépondreSupprimerJ'ai de la chance en se moment je ne tombe que sur de merveille niveau yaoi =) !!
J'ai beaucoup aimé le début de ta fiction et je vais me faire un plaisir de la suivre =) !!
ps: es normal que j'en veuille à Olivier =p ? ^^
Bye !! H.Yellow
Merci beaucoup et c'est toujours un plaisir d'accueillir de nouveaux lecteurs.
RépondreSupprimerPar contre, je n'ai pas compris ton PS.