Je n’entends plus que l’eau qui frappe ma peau. Ma tête bourdonne de ces souvenirs. Les larmes me monteraient presque aux yeux si elles ne s’étaient pas asséchées il y a longtemps. Je suis vide. Je n’ai plus vraiment la force de nager à contre-courant. Je me laisse emporter par les autres. Pourquoi chercher à faire des efforts ? Pour ce que j’en gagne…
Je sursaute lorsqu’une main vient me caresser le dos. C’est lui. Je n’ai pas envie de le voir pour le moment, et encore moins qu'il me touche. Pourtant, ses mains glissent sur mon torse et m’enlacent. Ses lèvres se posent sur mon cou avec douceur. J’ai envie de hurler.
« Tu as encore fait un cauchemar, babe ? » me demande-t-il doucement.
Je hoche la tête pour répondre. Si j’ouvre la bouche, je risque de me laisser emporter. Et lui, il continue ses caresses. Ses doigts effleurent la peau de mon ventre, descendent vers ce lieu de plaisir. Ses lèvres m’embrassent tendrement le cou puis la nuque. Je peux sentir qu’il a envie de moi. Mais, moi, je n’en veux pas, pas maintenant. Pourtant, mon dos se cambre déjà. Mon corps ne répond plus de moi. Il est l’esclave de ces autres. Alors, je m’emporte. Je me rebelle contre ce corps qui ne m’obéit plus. Je m’énerve contre lui parce que je n’ai pas envie de cela et que tout mon être n’est qu’un jouet entre ses mains.
« Putain ! J’peux pas prendre ma douche tranquille ! » hurle-je alors.
Il arrête net tous ses mouvements. Je lui tourne le dos, mais je peux sentir son visage triste derrière moi. Une douleur atroce s’empare de ma poitrine. Je regrette déjà d’avoir laissé ma colère s’exprimer.
« Ok, » dit-il d’un ton en peine. « Je t’attends dans la chambre. »
Au son de sa voix, la douleur se fait plus violente. Je ne le regarde pas alors qu’il sort de la douche, puis de la salle de bain. Une fois seul, je tape du poing contre le mur.
« Merde ! » fis-je dans un murmure.
Je me retourne et m’appuyant contre la paroi, je me laisse glisser au sol. Je me recroqueville sur moi-même et encercle mes genoux de mes bras. Ma tête vient s’y blottir. Pourquoi faut-il qu’il soit si gentil ce soir ? Pourquoi n’est-il pas arrogant quand j’ai besoin de me défouler sur lui ? Il a toujours eu le don de me désarmer. Depuis le début, il souffle le chaud et le froid. Il est à la fois cruel et tendre, indifférent et attentionné, insensible et passionné. Je ne sais jamais sur quel pied danser avec lui. Il a toujours été ainsi.
Nous nous étions rencontré à une soirée organisée par un ami commun. Il ne savait alors rien de moi à cette époque, et cela me plaisait. Il ne me regardait pas de haut, ou ne me traitait comme un objet. J’étais alors un être humain à part entière à ses yeux. Pourtant, il agissait avec ambigüité. Tantôt il fleuretait, tantôt c’était à peine s’il desserrait les lèvres pour me dire bonjour. Mais ce comportement changeant n’était qu’un trait de sa personnalité. Je savais que cela n’avait rien à voir avec moi. Je l’acceptais.
Après notre première rencontre, nous nous revoyions régulièrement en amis. Il était gay, et moi aussi. Je l’attirais, et lui également. Cependant, quelque chose me retenait, et il devait le sentir car, à aucun moment, il ne tenta de s’emparer de mon corps. Nous nous embrassions à des soirées bien arrosées sans aller plus loin. Je trouvais nos rapports rafraichissants. Il était une lumière apaisante dans l’obscurité que je traversais à ce moment là. Nous étions amis, et il ne me jugeait pas. Il ne me jugeait pas, et j’étais terrifié à l’idée de perdre tout cela. Alors, je préférais taire ma situation. Peut-être était-ce semblable à un mensonge, mais j’avais envie de croire à ce mensonge, cette fausse réalité qui n’existait qu’entre nous.
Puis, un jour, tout s’écroula. Je ne sais comment, il apprit ce que j’étais, ce que je faisais. Lors d’une fête, nous nous retrouvâmes. Je me précipitai vers lui dès mon arrivée, enthousiasme de le revoir après la journée que je venais de passer. Il me regarda avec suffisance pour la première fois depuis que nous nous connaissions. Son regard m’arracha le cœur. Sans un mot, il s’éloigna de moi. Je l’observais faire, tétanisé par la douleur de ce changement de comportement, sans pourtant me douter qu’il savait ce que j’étais. Durant toute la soirée, je ne le quittais pas des yeux. Il était furieux, parlait à peine aux autres, me lançait quelques regards dégoûtés de temps en temps. J’étais en souffrance.
Ce ne fut qu’en fin de soirée, alors que tout le monde était imbibé d’alcool qu’il se décida à m’approcher. Un autre homme me faisait alors des avances que je tentais d’ignorer, trop accaparé par ma peine. Il vint vers nous, guidé par la colère.
« Tu nous excuses, » dit-il alors à l’autre d’un ton calme, masquant à la perfection sa rage. « Il faut que je lui parle.
- J’étais là avant, prend un ticket, » répondit l’autre, de son souffle alcoolisé.
Il ne le laissa pas débattre d’avantage, et, m’agrippant par le poignet à m’en faire mal, me tira à sa suite. L’autre s’énerva, mais chuta lorsqu’il tenta de se relever, trop saoul pour tenir sur ses jambes.
Il m’emmena dans une chambre de la maison où nous étions et me jeta sans ménagement sur le lit. Il ferma la porte à clef derrière nous. Il me fallut un temps pour habituer mes yeux à l’obscurité. Et le spectacle qui se jouait devant moi me fit regretter de pouvoir voir à nouveau. Ses traits étaient déformés par la rage. Je ne savais pas encore quelle en était la cause à cet instant.
Il s’approcha du lit où je m’étais assis et me regarda de toute sa hauteur. Il agrippa mes cheveux et tira ma tête en arrière. Puis, il se pencha sur moi et m’embrassa avec fureur. Ce baiser n’avait rien de comparable avec ceux que nous avions échangés auparavant. Pourtant, je le laissai faire. J’avais envie de lui, et j’espérai que lui céder le ferait redevenir ce qu’il était. Je m’accrochais à l’espoir que, peut-être, consumer cette passion qui nous envahissait, nous rendrait ce que nous venions de perdre. Je ne pouvais pas plus me tromper.
Machinalement, mes mains virent encadrer son visage. Je tentais d’initier un peu de cette douceur qu’il m’avait fait connaître, mais ses intentions n’étaient pas là. En réponse à mon initiative, il me tira les cheveux en arrière et rompit notre étreinte. J’avais envie de lui dire d’arrêter, qu’il me faisait mal. Cependant, j’avais appris à faire taire la douleur, et son regard m’affirmait qu’il ne s’arrêterait pas. Il avait envie de cette souffrance, de ma souffrance. Je fermai les yeux dans un signe d’acceptation. Je me soumettais à lui.
Je ne sus pourquoi, mais mon asservissement sembla redoubler sa colère. Sa bouche se déforma dans un rictus de dégoût. Ses poings se serrèrent jusqu’à ce que ses jointures devinssent blanches. Son corps se crispa. Je me figeai sur place, terrorisé à l’idée de ce qu’il pouvait me faire. Je ne savais où poser mon regard. Que devais-je faire pour apaiser sa colère ? Je me transformai en poupée de chiffon, comme je le faisais toujours dans une telle situation. Mon esprit se vidait, devenait sans volonté. Mon corps était prêt à recevoir ses assauts. Je cachai mes larmes, ma douleur, ma peine au plus profond de mon être.
Pourtant, son attitude changea du tout au tout. Il s’accroupit devant moi et m’attrapa le menton avec délicatesse afin de fixer son regard dans le mien. Je tentai de lire ce qu’il voulait, mais comme toujours, je n’arrivais à atteindre ses pensées. Ses traits s’étaient radoucis. Du revers de la main, il me caressa tendrement la joue. Je fermai les yeux, appréciant la douce caresse. Ce soudain changement de comportement fit remonter mes larmes qui emplirent mes paupières clauses. Je fis un effort surhumain pour les retenir.
Je sentis ses lèvres se déposer subtilement sur les miennes. Je leur répondis avec timidité. C’était un baiser doux, tendre, un baiser comme je n’en avais jamais connu auparavant, un baiser qui ressemblait à de l’amour. Cependant, je restai méfiant. S’accrocher à un tel sentiment était dangereux pour quelqu’un comme moi.
Lentement, il me repoussa sur le lit et s’allongea sur moi. J’avais envie de l’enlacer, de l’aimer, de me raccrocher à ce corps qui me proposait une forme de délivrance à mon malheur, mais je n’avais plus de force. Mes bras ne répondaient pas à mes suppliques. Un frisson m’échappa tandis qu’il glissait une main chaude sous ma chemise. Son contact était d’une tendresse sans nom. De son autre main, il me caressait les cheveux avec douceur. Ses lèvres se mouvaient lascivement contre les miennes. Sa langue pénétra ma bouche suavement. Elle vient enlacer la mienne calmement. Je me laissai emporter par cet élan de délicatesse. J’oubliai tout.
Je gémis contre ses lèvres tandis qu’il effleura l’un de mes tétons du bout des doigts. Sa bouche quitta la mienne et glissa dans mon cou, lentement. Sa langue dessina un chemin humide sur ma gorge. Posément, il m’ôta ma chemise, continuant à m’embrasser. Mon corps n’était qu’un pantin entre ses bras. Je gardai les yeux fermés. Ses caresses sur mon torse se multiplièrent, toujours aussi tendres. Lentement, ses lèvres vinrent embrasser ma poitrine, jusqu’à mon ventre. Je me mordis les lèvres afin de retenir mes gémissements. Jamais un homme ne m’avait donné autant de plaisir avec si peu de chose, et je pourrais même dire que jamais un homme ne m’avait donné autant de plaisir tout court.
Tandis que sa langue s’attardait sur mon nombril, il commença à défaire ma ceinture, puis déboutonner mon jeans. Il retira le reste de mes vêtements. Il se plaça, ensuite, entre mes jambes et embrassa mon début d’érection. Je ne pu restreindre un gémissement d’extase alors qu’il déposait de doux baisers sur ma membre gonflant. Après quelques délicieuses caresses du bout des lèvres, il me prit en bouche avec lascivité. Mes râles se firent de plus en plus nombreux. Mon corps entier s’enflamma. Il cessa ses cajoleries juste avant ma délivrance.
« Tourne-toi, » murmura-t-il doucement.
Mon corps lui obéit. J’étais sa chose. Je ne contrôlai rien. Il tira calmement sur mes hanches jusqu’à ce que mes genoux touchent le sol. Puis, il écarta mes fesses et sa langue vint chatouiller mon anus. Je gémis encore. Mon esprit était apaisé. J’étais au paradis tandis qu’il s’insinuait en moi, humectant mon intimité. Un de ses doigts me pénétra, m’arrachant un nouveau râle. Avec une tendresse inconnue, il me prépara à sa venue.
Puis, je ne sentis plus son toucher. Une boule d’angoisse m’emprisonna la poitrine. Une douleur aigüe déchira mes entrailles tandis que, les paupières toujours closes, j’entendais des froissements de tissus. Enfin, ses mains vinrent se poser sur mes hanches et ma torpeur disparut. Je me mordis les lèvres, retenant un cri lorsqu’il me pénétra avec douceur. Il s’immobilisa, me caressant le dos avec tendresse. Je n’avais pas vraiment mal. J’étais habitué à ce type de traitement, pourtant, j’avais l’impression que c’était la première fois que l’on s’insinuait en moi.
Il se retira et l’inquiétude m’emplit une nouvelle fois.
« Retourne-toi, » dit-il calmement.
Une nouvelle fois, mon corps lui obéit sans que je n’eusse mon mot à dire. Il prit mes jambes et les posa sur ses épaules. Doucement, il entra en moi. Il se figea encore et se pencha sur moi. Il déposa ses lèvres sur le mienne, m’embrassant avec tendresse. Mes bras refusaient toujours ne m’obéirent alors que je mourrai d’envie de l’enlacer. Il caressait mes cheveux délicatement. Puis, il me pénétra entièrement. Je poussai un autre râle d’extase. Pourtant, il dût y voir un quelconque signe de souffrance car il s’immobilisa à nouveau et attendit, tentant de m’apaiser en déposant un millier de délicats baisers sur mon visage et mon cou.
J’avais envie de lui hurler de continuer, mais les mots refusaient de franchir mes lèvres. Je sentis à nouveau sa bouche contre la mienne, caressante et tendre. Il m’embrassa avec douceur tandis qu’avec une précaution immense, il commença à bouger en moi. Seuls de petits gémissements, manifestes de mon plaisir, s’échappaient de mon être toujours aussi statique. Une envie soudaine de voir son visage entrain de me faire l’amour émergea en moi. Toutefois, mes paupières restaient closes.
Peu à peu, il accéléra la cadence. Il se saisit de mon sexe en érection et me branla au rythme lascif de ses coups de butoir. Je me mordis les lèvres afin d’en contrôler les sons qui s’en échappaient. C’était la seule chose dont j’étais encore capable. Mais bientôt le plaisir fut bien trop énorme pour brider quoi que ce fût. Je ne tardais pas à jouir entre ses doigts. Je sentis la chaleur de sa semence m’envahir à travers la fine couche de latex. Il s’écroula sur moi dans un râle d’extase. Mes bras refusaient toujours de m’obéir et de l’enlacer, tandis qu’il se remettait à me couvrir de baisers.
Soudain, il cessa ses caresses. Les yeux fermaient, je ne pus même pas tenter de deviner ce qui avait provoqué ce changement d’attitude alors que je sentais son corps se raidir. Il quitta mon intimité avec rudesse. Je me mordis une nouvelle fois les lèvres afin de ne pas laisser échapper un gémissement de contestation. Je l’entendis s’asseoir à mes côtes et commencer à se rhabiller. Je pus enfin ouvrir les yeux. Je me redressai, puis allant m’asseoir à la tête du lit, je recouvrai mon corps des draps. Je me recroquevillai, enlaçant mes genoux où j’y déposai ma tête afin de le regarder se vêtir. Il me tournait le dos, boutonnant sa chemise.
« C’est quoi tes tarifs pour ce qu’on vient de faire ? » demanda-t-il de but en blanc, sans même m’octroyer un regard.
Machinalement, j’allais lui répondre, mais je me rendis compte de qui me posait la question. Il n’était pas sensé être au courant. Il n’aurait pas dû savoir ce que je faisais, ce que j’étais. Il aurait fallu que je le préservasse de cela pour que jamais, il ne posât sur moi le regard qu’il avait eut tout au long de la soirée. Je compris alors que son dédain soudain était dû à cette nouvelle qu’il avait apprise je ne savais comment, et qui avait dû lui faire un choc, changeant l’opinion qu’il se faisait de moi.
Les larmes me montèrent une nouvelle fois aux yeux, ces larmes que je pensais être taries depuis longtemps, ces larmes qui, pourtant, m’étaient venues tant de fois en cette soirée à cause de cet homme. Moi qui m’était forgé une coquille épaisse pour que, plus jamais, je ne sois blessé, lui l’avait brisée en mille morceaux pour m’arracher le cœur. Cette fois-ci, je ne pus me retenir de pleurer silencieusement. Je cachais mon visage entre mes genoux. Tout ce que je voulais à présent, c’était qu’il partît, qu’il me laissât seul, pour ne plus avoir à supporter son regard suffisant ou une autre remarque cinglante.
Pourtant, il resta là. Il s’approcha de moi et me caressa les cheveux. Il embrassa mes bras, ma nuque, mes épaules, tout morceau de peau à sa portée.
« Je suis désolé, » murmura-t-il. « Je n’aurai pas dû te demander ça. Je suis désolé… »
J’écarquillai les yeux de surpris, caché entre mes bras. C’était la première fois que j’entendais un autre homme me demander pardon. Sous le coup de l’étonnement, mes larmes disparurent, et je relevai la tête pour l’observer. Se moquait-il de moi ? Il posa un regard triste sur moi tandis qu’il essuyait mes joues humides. Un élan de pitié m’envahit. J’éprouvai le besoin de le rassurer.
« T’en fais pas, » dis-je alors d’une voix calme. « J’ai l’habitude que l’on me traite comme une pute. »
Il planta son regard dans le mien encore humide. Un triste sourire vint se dessiner sur ses lèvres alors qu’il caressait ma joue de son pouce, ses autres doigts entremêlés dans mes cheveux.
« Tu ne devrais pas, » fit-il doucement. « Personne ne devrait avoir le droit de te traiter comme ça.
- Mais c’est ce que je suis, non ?
- Alors, ne le sois plus. Arrête tout ça et ne sois qu’à moi. »
En étais-je capable ? Pouvais-je mettre tout cela de côté et reprendre une vie normale ? Était-il possible de tout oublier ? Je le laissai m’enlacer avec tendresse, alors que je me demandais si j’avais encore droit à l’amour.
Mot de l’auteur : Salut mes chères lectrices et lecteurs, j’espère que ce nouveau chapitre vous aura plu autant que le précédent (je présume que le chapitre 01 vous a plu, sinon, vous ne liriez pas le second, vrai ?). Je voulais juste dire un petit quelque chose. En fait, j’ai écrit cette histoire à cause d’une phrase qui se trouve dans ce chapitre (« T’en fais pas. J’ai l’habitude que l’on me traite comme une pute. »). Cette phrase a émergé dans mon esprit ou je l’ai lu ou entendu quelque part, je ne sais plus, et je me suis donc demandée en quelle circonstance quelqu’un pourrait dire ça. J’ai donc construit mon histoire à partir de cette idée, et je vous livre donc ici, mon secret de fabrication, pour ceux et celles que ça intéresse.
Je vais m’arrêter ici et vous souhaite à tous et à toutes une bonne continuation. Je vous dis à bientôt pour la suite qui sortira sans doute la semaine prochaine, si je ne suis pas trop fatiguée.
Hey, babe ! by LoalAnn est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de Modification 2.0 France.
Basé(e) sur une œuvre à lespetiteshistoiresdeloalann.blogspot.com.
Ce que j'apprécie beaucoup dans cette fic. et qu'on retrouve aussi dans les autres, c'est la dimension psychologique. A travers les souvenirs du narrateur, on comprend comment il en est arrivé à se mépriser et à se prostituer. Son histoire avec Olivier est le point de départ de tout ça. J'ai hate de découvrir ce qui a bien pu se passer après.
RépondreSupprimerMerci du compliment et je suis très heureuse d'être arrivé à faire passer ce que je voulais.
RépondreSupprimerConcernant ce qu'il s'est passé (ATTENTION SPOILER!!!) dans le prochain chapitre on verra ce qu'il s'est passé le lendemain et les jours suivants le coït avec Olivier avec du sec violent et l'apparition d'un nouveau personnage. Je n'en dis pas plus. Et à bientôt.
tres interssant comme thème, je me demande s il reussira à sortir de cet engrenage! et moi aussi j'ai hate de lire cet engrenage justement ! 'l'apres "olivier" quoi !' ses étapes pour arriver où il est aujourdh ui.
RépondreSupprimerRavie que tu apprécies et j'ai commencé à écrire le chapitre 03 ce matin, donc la suite sera postée d'ici la fin de la semaine si tout va bien.
RépondreSupprimerChapitre encore très émouvant ! Plein de tendresse et à la fois de colère, les émotions nous parviennent très bien... Un début vraiment très intriguant ! Continue ^^
RépondreSupprimerMerci et c'est vrai qu'il y a beaucoup d'émotions dans cette fiction et pas des plus agréables. C'est pourquoi j'ai un peu de mal à écrire le chapitre suivant. Il faut que je me mettes dans un état d'esprit pas très agréable et c'est pas facile, donc c'est pour ça (entre autre) que je n'ai pas publié cette semaine.
RépondreSupprimerEnfin bref, merci beaucoup pour ton commentaire et n'hésite pas à revenir me voir.
C'est quand il raconte sa soirée : "Il était furieux, parler à peine aux autres" parlait à peine aux autres
RépondreSupprimerPeu après : "trop accaparer par ma peine. " "trop accaparé"
"En réponse à mon initiative, il me tira les cheveux en arrière et rompu notre étreinte."
"rompit notre étreinte."
à la fin de leur partie de jambe en l'air "Machinalement, j’allais lui répondre, mais je me rendis compte de qui me poser la question. "
"qui me posait la question. "
"C’était la première fois que j’entendais un autre homme me demandait pardon" me demander pardon
à part ça j'aime beaucoup même si j'ai un peu de mal à voir par quel bout tu prends l'histoire mais je comprendrais au fil des ch et si tu veux que j'arrête de relever les fautes dis le moi
Non, je te remercie pour les fautes et tes commentaires.
RépondreSupprimerAhhh, j'adore ce côté chaud qui souffle le froid, cette domination qui se fait câline, et PAF, le "combien je te dois" qui monte le noeud de l'intrigue à son paroxysme !!!! J'ai adoré !!!
RépondreSupprimerMisaki-Chan-842, tu me flattes....
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