lundi 1 février 2010

Hey, babe ! (Fiction Yaoi) - Chapitre 03


Mot de l'auteur : ATTENTION !!! Je préfère prévenir mon lectorat. Ce chapitre contient une scène très violente (du moins, aussi violente que mon imagination le permet), donc âme sensible s’abstenir. Et aussi, désolé pour le retard.

Les souvenirs s’effacent peu à peu et me laissent un étrange sourire sur les lèvres. Je décide enfin de me relever. Je ferme l’eau et sors de la douche. J’attrape une serviette avec laquelle je m’essuie nonchalamment les cheveux avant de la nouer autour de ma taille. Je quitte la salle de bain. Lui, il est là, à m’attendre. Étendu sur le dos, les bras croisés derrière la tête, il m’observe tandis que je vais retrouver ma place à ses côtés. Je refuse de le regarder mais je sens son regard se poser sur moi. Une fois que je suis allongé, il se tourne vers moi, plaçant sa tête dans sa main, le bras replié. Je le sens m’examiner. Je peux aisément deviner son désir. Mais je sais qu’il n’ose pas faire le premier pas. Quelque part, cela m’amuse. Cependant, je ne suis pas prêt à lui donner satisfaction, et il le sait. Alors, timidement, du bout de l’index, il vient jouer avec les gouttelettes d’eau qui sont restées sur ma peau. Je le regarde enfin. Il me sourit avec tendresse. J’ai l’impression de fondre comme à chaque fois qu’il me fait ce sourire. Je ferme les yeux. Je ne veux pas me laisser emporter par mes sentiments. Et puis, quels sont-ils au juste ?
« Je peux t’embrasser ? »
Je sursaute. Qu’est-ce que c’est que cette question ? Depuis quand il me demande la permission pour faire quoi que ce soit ? Ne suis-je pas un jouer entre ses mains, un automate obéissant ?
« Qu’est-ce qu’y t’en empêche ? » demande-je, à fleur de peau.
« J’ai l’impression que si je le fais, tu vas me coller un pain dans la gueule, » plaisante-t-il.
« Et depuis quand c’est un problème pour t’empêcher de faire ce que tu veux ?
J’ai pas envie de ça ce soir. Je suis d’humeur… “gentil“. »
Je le regarde encore. Il est concentré sur les arabesques humides qu’il dessine sur mon torse. Il sourit bêtement de ses dernières paroles. À le voir comme cela, je s’esquisse moi aussi une risette. Ma mauvaise humeur commence à me quitter. J’ai envie qu’il me touche, m’embrasse, qu’il me prenne dans ses bras, qu’il m’appelle de ce surnom que je déteste tant, de ce surnom ridicule. Pourtant, je ne fais rien, je ne dis rien. Je n’exprime aucune volonté. C’est ce que l’on a toujours attendu de moi, et j’ai su trop bien respecter cela. Maintenant, je ne sais plus exprimer ce que je désire. Je ferme les yeux et espère très fort qu’il le devine, par je ne sais quel moyen.
 « Alors ? » s’enquit-il, levant les yeux vers moi. « Je peux t’embrasser ?
Non, » réponds-je d’un ton sec.
Malgré mon désir de sentir ses lèvres contre les miennes, l’envie de le taquiner est plus forte. Quelque part, je le punis de ne pas avoir su lire mes pensées. Il fait une moue infantile. Je grimace pour restreindre un rire joyeux. Il n’y a qu’avec lui que j’ai envie de rigoler comme cela. Il n’y que lui qui arrive à m’extorquer des sourires sincères. Le sait-il ? Une chaleur m’envahit. J’ai envie de rire avec lui, tels deux enfants heureux. Est-ce cela le bonheur ?
« Au fait, » dit-il, caressant toujours mon abdomen de son doigt. « Un certain Steve te cherchait aujourd’hui. Tu l’as vu ?
Steve ? Non. Et je sais ce qu’il veut. Je ne suis pas intéressé. »
Je ne l’ai jamais été d’ailleurs, pas avec Steve. J’avais trois types de clients : les hétérosexuels qui voulaient s’essayer aux relations entre hommes, les homosexuels qui souhaitaient prendre un peu de bon temps, et les homosexuels refoulés qui éprouvaient le besoin de passer leur dégoût d’eux-mêmes dans un acte bestial et violent. Ces derniers étaient les pires, et Steve en faisait partie.
Je le connais depuis le lycée, il était le meilleur ami d’Olivier, si tenté qu’il pût avoir ce genre d’amitié. Le lendemain de ma première « passe », la nouvelle s’était répandu telle un traînée de poudre, je ne sais comment. Olivier n’était pourtant pas du style à s’en vanter. Mais, je venais d’être catalogué prostitué, et quelques jours plus tard, Steve était venu me voir et m’avait proposé un marché semblable à celui que m’avait offert son ami. J’aurais pu dire non, arrêter cette plaisanterie qui n’avait que trop durée. J’en étais encore capable à cette époque. Cependant, je ne savais pas vraiment où j’en étais. Peut-être me disais-je que c’était une manière de me venger d’Olivier en couchant avec son meilleur ami ?  Peut-être pensais-je que cela le rendrait jaloux, ou quelque chose comme cela ? Qu’est-ce que je pouvais être stupide ! Il m’avait pourtant prouvé qu’il se moquait éperdument de ma personne.
Et j’avais accepté de suivre Steve dans un motel, après les cours. Ce fut avec l’innocence de l’enfant que je rentrais dans cette chambre crasseuse pour la première fois. Je ne savais pas quoi penser de Steve. Je l’avais toujours considéré comme un homophobe. Les regards qu’il posait sur moi semblaient tantôt gorgés de désir, tantôt emprunts d’un dégoût sans borne. Qu’il vint me voir m’avait plus que surpris. Son comportement à mon égard aurait dû m’alarmer. Toutefois, j’étais loin d’être un enfant perspicace. Naïvement, j’offrais mon corps à ce camarade sans me douter de ce qu’il allait en faire.
Je m’assis sur le lit, et laissai mon regard balayer la pièce tandis que Steve fermait la porte de la chambre, jetant la clé sur une table avec désinvolture. Il s’approcha ensuite de moi, et vint se placer entre mes jambes. Je ne faisais pas vraiment attention à lui, alors qu’il attendait que je m’attelasse à lui donner du plaisir. Son impatience ne tarda pas à se faire en entendre.
« Bon, alors ! Qu’est-ce que t’attend ? »
Sa voix était emprunt d’une haine et d’un dégoût incompréhensible. Je ne pris pas gare à ce énième avertissement et plantai mon regard dans le sien, plein de morgue. Il eut un rictus écœuré devant mon attitude. Encore une fois, je n’y fis pas attention. J’attrapai sa ceinture et la lui ôtai. Je défis la fermeture de son jeans. Je levai une nouvelle fois les yeux vers Steve, lui lançant un regard dédaigneux, tandis que je fis descendre son pantalon. Je ne cherchai pas à attiser son désir. Je n’allais que lui offrir du sexe à l’état brut, et plus le temps passait, moins j’avais envie de le faire. J’avais donc l’intention de lui faire une fellation, puis de repartir, mes cinquante euros en poche. Je pensais alors qu’il se contenterait de cela.
Son caleçon alla rejoindre son pantalon sur ses chevilles, et je m’emparai de son sexe avec rudesse. Je ne mettais aucune bonne volonté dans ce que je faisais, tandis que je commençai à le branler. Je laissai mon regard vaquer ailleurs pendant que je m’attelai à lui donner de la vigueur, ce qui ne tarda pas à se produire. Alors, non sans une pointe de dégoût pour ce que j’allais faire, mais surtout à qui j’allais le faire, je me penchai sur l’entrecuisse de Steve et lui donnait un premier coup de langue depuis la base de son pénis jusqu’à son gland. J’étais, malgré tout, bien décidé à lui offrir toute mon expertise, lui faire connaître un plaisir inéprouvé.
Je jetai un coup d’œil à Steve qui me regardait faire, les yeux emplies de désir, se mordant la lèvre inférieure. Je souris de son comportement. Être témoin de sa jouissance due à mes caresses m’offrait une nouvelle perspective. Je ne cessai d’observer ses réactions. Je m’amusai de voir Steve, ce jeune homme grossier et – j’en suis persuadé – gay qui se cachait derrière une façade de l’hétérosexuel multipliant les conquêtes féminines. J’avais, à cet instant, un certain pouvoir sur lui, me sentant tout puissant. Grâce à mon savoir, j’avais le contrôle de son désir et de son plaisir. Il était ma chose alors que je lui prodiguais mille caresses sur sa verge engorgée.
Il fit une grimace d’écœurement, découvrant ma soudaine satisfaction. Mon plaisir n’en fut que décuplait. Je titillai son gland du bout de ma langue, l’observant par-dessous. De mon pouce et de mon index droit, j’encerclai la base de son membre et remontai jusqu’à son extrémité, faisant pression afin d’en extirper le suc. Une fois arrivé au gland que mes lèvres recouvraient, ma langue le caressant, l’autre main prenait le relai. Je sentais son membre grossir. Avec quelqu’un d’autre, j’aurai cherché à exciter la prostate, mais j’avais peur de la réaction de Steve si je pénétrai son intimité, ne serait-ce que d’un doigt. Je préférai donc m’abstenir. Au lieu de cela, je le pris entièrement en bouche, faisant des va-et-vient sur son membre suintant, jouant de tous les muscles de ma bouche, le suçant avec vigueur. D’une main, j’attrapai ses bourses et les massai drument.  Il ne tarda pas à se déverser dans ma gorge laissant échapper un râle de plaisir. Sa semence me laissa un goût acre dans la bouche, mais je la bus entièrement.
D’un revers de manche, je m’essuyai les lèvres, lui lançant un regard satisfait. Malgré sa jouissance, il n’avait pas débandé. Je n’y fis pourtant pas attention.
« Mes cinquante euros, » réclamai-je alors, plein d’orgueil, commençant à me lever. « Je me casse.
­- Où tu crois aller comme ça ? » demanda-t-il, m’attrapant par le poignet avec force. « J’en ai pas fini avec toi. »
Avec violence, il m’obligea à me retourner et m’allongea sur le lit. Il tira sur mon pantalon avec tellement d’agressivité que le bouton céda, me laissant une marque douloureuse sur l’abdomen.
« Hé, arrête ! Tu me fais mal ! » protestai-je, me débattant.
Pour toute réponse à mes suppliques, il accentua la pression sur mon poignet me tordant le bras dans le dos avec fureur. Le son des os qui se brisassent résonna à mes oreilles. Une douleur vive me fit lâcher un cri. Les larmes commencèrent à emplir mes yeux.
« Steve, arrête ! » continuai-je à implorer, la voix tremblotante, tentant de me dégager.
Mais il me tenait trop fermement, et la douleur m’empêchait de bouger à ma guise. Les pleurs coulèrent sur mon visage tandis que de sa main libre, il se débarrassait de mon boxer qui se déchira sous sa force.
« Arrête ! Je t’en pris, arrête ! » suppliai-je une dernière fois, éclatant en sanglot.
« T’inquiète, tu vas adorer. »
Sa voix était emplie de haine et de mépris. J’enfuis mon visage dans les draps, tâchant d’étouffer mes gémissements de douleur. D’un coup sec, il me pénétra entièrement. Je ne pus restreindre un hurlement.
« Mais tu vas te la fermer, oui ! » se plaignit-il, me donnant un coup de poing dans le creux des reins.
Je criai encore. Il m’obligeât alors à me redresser, me plaquant contre son torse et m’agrippa par le cou d’une main, l’autre retenant toujours mon bras derrière le dos. Sa violence était telle qu’il m’écrasait la trachée, m’empêchant de respirer. De ma main lire, je tentai de me libérer de cette étreinte tandis qu’il commençait à donner des coups brutaux. Les larmes cessèrent de couler sur mes joues. J’écarquillai mes yeux secs, terrifié par ce qu’il se passait. Allais-je mourir ici ? Ma vie allait-elle s’achever dans cette chambre crasseuse ? La douleur se propageait dans mon corps mais la peur m’empêchait de sentir quoi que ce fût. Un liquide chaud coulait le long de mes cuisses alors qu’il me martelait de coups de butoir. Je suffoquai. Je le griffai, sa main enserrant ma gorge, sa joue, son épaule, tout ce qui était à ma portée afin de le faire lâcher prise. Cela n’eut pour effet que de le faire grogner de contentement.
« T’aime ça, petite salope ! » murmura-t-il à mon oreille.
Comment pouvait-il imaginer que je semblais apprécier cet acte brutal et douloureux ? Je me rendis alors compte que je bandais tel un pendu. Ses mouvements s’accélérèrent. Le temps sembla s’arrêter. Des petits points blancs m’apparurent devant les yeux. Tout devenait flou. Je ne ressentais plus la douleur. La peur me quittait ainsi que tout autre sentiment pendant qu’il me pénétrait violemment. L’obscurité commençait à m’envahir tandis que je le sentis se décharger en moi dans un râle de plaisir, des spasmes secouant son corps. Il desserra enfin son étreinte et je retombais sur le lit telle une masse morte, à peine conscient, toussant alors que mes poumons se remplissaient à nouveau d’air. Il se laissa choir à côté de moi.
« Olivier n’avait pas menti ! Putain, que c’était bon ! » s’exclama-t-il, la voix roque.
Je me recroquevillai sur moi-même en position fœtal et sanglotai en silence. La douleur m’envahissait entièrement alors que je prenais conscience de mon corps. Je sentis à nouveau un liquide chaud couler de mon intimité. Je ne sais comment j’eus la force de regarder pourvoir un suc épais tenté de rose s’échapper de mon rectum.
Steve se releva, et je tremblai de tous mes membres, terrorisé à l’idée qu’il revint à la charge. Mais il n’en fit rien. Il se rhabilla en silence, et lança quelque chose sur le lit qui atterrit dans ma main.
« Tiens, ce que je te dois, » précisa-t-il.
Sans rien ajouter, je l’entendis sortir de la chambre et claquer la porte derrière lui. Une fois seul, je ne contrôlai plus mes sanglots secouant mon corps nu et meurtri, serrant amèrement le billet de cinquante euros dans ma main. Je ne tardai pas à perdre connaissance. Ce furent les cris de la femme de chambre qui me réveillèrent le lendemain matin. Je m’évanouis une nouvelle fois et ne repris conscience que quelques heures plus tard à l’hôpital. J’avais le bras dans le plâtre et mon corps était courbaturé, douloureux. Lorsque j’ouvris les yeux, ma mère était à mon chevet, le visage en larmes, me tenant la main. À sa vue, mes pleurs se remirent à couler. Plus loin, mon père me regardait avec dégoût. J’appris plus tard que les médecins les avaient informés que j’avais été victime d’un viol. À partir de cet instant, mon père ne me considéra plus comme un homme, ni comme son fils, d’ailleurs.
Quelques jours après mon réveil, un agent de police vint prendre ma déposition. Je ne lâchai un mot malgré les suppliques de ma mère et les menaces de mon père. L’agent tenta alors de les calmer, affirmant que mon silence était sans doute dû à ma peur des représailles, que je ne cherchais en rien à protéger la ou les personnes qui m’avaient fait ça. Bien sûr, il se trompait. Je ne pouvais pas dénoncer Steve parce que j’étais tout aussi coupable que lui de ce qu’il s’était produit. Je l’avais suivi de moi-même dans cette chambre d’hôtel, et j’avais été payé pour ce qu’il m’avait fait. Si la police allait l’interroger alors mes parents sauraient que je m’étais vendu, et Steve ne serait pas puni puisque je n’étais qu’un prostitué. À quoi bon dire quoi que ce fût ?
Une semaine plus tard, je revenais au lycée sous les regards dédaigneux de mes camarades de classe. Personne ne sut ce qu’il s’était vraiment passé. Steve avait donné sa version des faits et, à aucun moment, ne se douta qu’il était la cause de mon bras plâtré ou de mon séjour à l’hôpital. Il était persuadé que j’avais pris autant de plaisir que lui à nos ébats. Aussi, il ne fut pas étonnant qu’il revînt me voir par la suite. J’aurai pu me refuser à lui. Je n’étais pas masochiste. La douleur que j’avais ressentie lorsqu’il m’avait pris ne m’avait apporté aucune jouissance, loin de là. Cependant, je ne m’étais jamais refusé à lui. Ce que j’avais vécu dans cette chambre m’avait ôté toute volonté. Je n’étais plus capable de dire « non » à qui que ce fût. J’étais devenu un corps sans âme. Il avait fait de moi ce que je suis aujourd’hui, incapable d’exprimer des sentiments.
Puis, pour pallier à la violence de Steve – et de ceux, comme lui, qui suivirent par la suite – je rusais. Lorsque j’avais fini de lui faire son habituelle fellation, je m’éclipsai dans la salle de bain afin de me préparer à son intrusion. Je revenais ensuite vers lui et le laissai faire ce qu’il voulait de mon corps, me transformant en poupée de chiffon. Je ne pleurai pas malgré les coups à répétition qu’il me donnait, malgré la douleur de sa brutalité. Je ressortais toujours couvert de bleus et courbaturé de cette chambre de motel, mais je ressortais sur mes pieds, et c’était l’essentiel. La douleur, le dégoût de moi-même, tout cela n’avait plus d’importance.


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Basé(e) sur une œuvre à lespetiteshistoiresdeloalann.blogspot.com.

7 commentaires:

  1. Ce chapitre est violent mais ce n'est pas quelque chose qu'on peut te reprocher puisque cette violence est nécessaire pour qu'on comprenne bien comment le narrateur en est arrivé à se prostituer.
    J'ai du mal à cerner ce qu'il ressent exactement pour l'homme qui partage sa vie. Je pense que la suite m'éclairera.
    A bientôt.

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  2. En fait, pour répondre partiellement à ta question, les sentiments ne sont pas toujours très clairs et c'est ce que j'essaye de transmettre dans cette histoire. Tout n'est pas toujours noir ou blanc, on ne peut pas toujours mettre des mots sur ce que l'on ressent...

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  3. Au début "Qu’est-ce qu’y t’en empêche ? " qu'est-ce qui t'en empêche
    Juste parès : "Je s’esquisse moi aussi une risette"
    j'esquisse
    "Sa violence était telle qu’il m’écrasait la tranchée" la trachée

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  4. Tu es sur pour le "qui" parce qu'il me semble que l'on dit "qu'est-ce que". Qu'il s'agit d'une chose et non d'une personne.

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  5. C'est je dirai autant osé qu'intéressant... mais bien écrit donc y a aucun souci et je suppose que c'était essentiel pour comprendre le comportement si froid et ce sentiment de vide qui habite le personnage... Bravo !
    ... Ceci dit si je peux me permettre une petite critique : je pense que tu as quelques problèmes de conjugaison (fût au lieu de soit... et autre) et je pense que ce serait intéressant de travailler là dessus...
    Quoi qu'il ne soit c'est une histoire intéressante donc une nouvelle fois bravo et merci !!!

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  6. Merci Anonyme. Ça fait toujours plaisir d'avoir un(e) nouveau(elle) lecteur(rice). Et je suis contente que cette fiction te plaise.
    Quant aux fautes dont tu fais mention, il n'y en a pas. Je ne dis pas que je ne fais pas de fautes et quand on me laisse un commentaire pour me dire qu'il y a une faute, je la corrige. Seulement là, les deux fautes que tu mentionnes n'en sont pas. J'utilise "fût" parce que c'est l'imparfait du subjonctif et non "soit" qui est le présent du subjonctif (mon texte est au passé). Ensuite, j'ai bien sciemment utilisé "géhenne" parce qu'il ne s'agit pas seulement d'une gêne mais ce mot contient la notion de douleur. Voilà.
    A bientôt j'espère...

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  7. J'aime beaucoup la façon dont tu transmets ses sentiments, émotions, ça fait très "vrais"

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