lundi 12 octobre 2009

L'Autre (Fiction Yaoi) - Chapitre 07


Lorsque Marc se réveilla, les premières lueurs du jour n’avaient pas encore percé l’obscurité de la nuit. Il jeta un coup d’œil à son réveil qui lui indiqua qu’il était six heures et demies. Pierre dormait toujours au creux de ses bras. Il resta ainsi quelques minutes, profitant que cette étreinte. Puis, il se risqua à déposer un doux baiser sur la nuque à la peau laiteuse avant de tenter de se dégager précautionneusement pour ne pas réveille son doux prince. Mais il sentit une pression sur son bras qu’il l’empêcha de se lever. Il se pencha au-dessus de son compagnon pour se rendre compte qu’il avait les yeux ouverts.
« Hé ! Bonjour. Je ne t’ai pas réveillé au moins ? » fit alors Marc.
« Non.
Tu veux du café ou une aspirine ? Tu t’es pas mal lâché hier soir.
Ça va.
Ok. Moi, je boirais bien du café. T’as qu’à rester ici et te reposer, d’accord ? Tu peux rester autant que tu veux. »
Pierre ne répondit pas. Le brun fit un mouvement pour se lever mais son ami refusait toujours de le lâcher.
« Pierre ? Il y a quelque chose qui ne va pas ? » demanda-t-il inquiet.
Tu-tu ne me touches plus, » murmura son interlocuteur d’une voix à peine audible tout en lui cachant son visage.
- Quoi ?
- Reste avec moi, encore un peu.
- D’accord. »
­­­Marc reprit sa place. Son cœur battait la chamade. Il devait faire des efforts surhumains pour ne pas laisser libre cours à ses pulsions. De sa main libre, il prit tout de même la liberté de caresser les cheveux blonds de son compagnon. Il pensa que cela devait lui déplaire car Pierre se retourna pour lui faire face. Ce dernier plongea son regard dans le sien et Marc se sentit incompréhensiblement mal à l’aise.
« Pardon, » fit-il timidement, sans connaître la raison de sa gêne.
Pierre le regarda, hésitant. Leurs visages étaient si près l’un de l’autre qu’il pouvait sentir le souffle du brun sur sa peau. Son cœur battait tellement fort qu’il avait l’impression qu’il allait s’échapper de sa poitrine. Et, à cet instant, il eut une envie qu’il ne pu réprimer. Il approcha son visage de celui de son compagnon et l’embrassa. Ce fut un baiser furtif, craintif et rapide. Le blond baissa la tête en rougissant.
Marc resta interdit pendant quelques minutes, ne sachant plus quoi penser. Il scruta Pierre qui n’osait plus bouger. Ce dernier était attendrissant. Le brun l’embrassa sur le front en caressant ses cheveux. Il ne savait pas quoi penser de ce baiser timide qu’on venait de lui donner mais il refusait de laisser place à cette petite voix qui lui disait que Pierre avait changé d’avis à son sujet. Pourtant, lorsque le blond s’accrocha désespérément à lui tel un enfant qui refuse d’être abandonné, il ne pu se retenir plus longtemps.
Il releva la tête de Pierre et l’embrassa à son tour. Cette fois-ci, ce fut une étreinte plus longue, plus tendre aussi. Cependant, Marc n’osa aller plus loin jusqu’à ce qu’il sentît que son compagnon répondait à son baiser. Là, le brun chatouilla les lèvres de son partenaire de sa langue. Ce dernier le laissa faire. La passion s’immisça dans leur enlacement. Leurs langues se mêlèrent dans une danse suave.
Le trentenaire brun oublia leur dernier baiser et le rejet de son compagnon à ce moment-là. Il ne fit pas attention à la maladresse de Pierre ou à son corps qui tremblait entre ses bras. Il avait envie de lui plus que tout. Il voulait lui faire l’amour jusqu’à en perdre haleine. Ses mains commencèrent à se balader sur le corps frissonnant du blond. Il bascula et s’allongea sur son bien-aimé. Il ne se contrôlait plus. Il sentait son excitation grandir dans son bas-ventre. Une de ses mains se faufila sous la chemise du blond qui l’arrêta.
Marc s’assit sur le lit, soudain effrayé par ce qui venait de faire. Il tourna le dos à son ami, incapable de lui faire face.
« Je suis désolé, » dit-il peiné. « Je ferais mieux de me lever.
Attends. »
Il se tourna vers Pierre qui baissa la tête. Un courage mystérieux enveloppa ce dernier et lui donna la force d’avouer ses sentiments à Marc mais surtout à lui-même.
« Laisse-moi juste un peu de temps, d’accord ? Je ne suis pas habitué à faire ça avec un homme.
Qu’est-ce que tu veux dire ?
J’en ai envie aussi. Je ne sais pas pourquoi, mais j’en ai envie. Et ça me fait peur.
Tu es sûr de toi ? Tu es sûr que c’est ce que tu veux ?
Oui, » répondit-il en levant les yeux sur Marc.
Ce dernier reprit sa place à ses côtés et l’embrassa tendrement. Pierre l’enlaça.
« Allez, viens ! » les interrompit le brun. « J’ai vraiment envie d’un café.
D’accord. »
Pierre récupéra ses lunettes et ils se levèrent. Ils quittèrent enfin la chambre en se tenant par la main.

Plus d’un mois passa sans que leur relation n’évoluât. Lorsqu’ils étaient seuls, ils s’embrassaient tendrement, se tenaient pas la main, dormaient enlacés dans les bras l’un de l’autre, sans pour autant aller au-delà. En public, Pierre refusait toujours quelques gestes que ce fût qui auraient pu trahir leur union. Il n’était pas prêt, s’évertuait-il à dire. Marc avait l’impression de revivre ses amours d’adolescent.
Toutes les nuits qu’il partageait avec Pierre, il était réveillé par des caresses lascives. Marc ouvrait alors les yeux pour se rendre compte qu’Eden était près de lui. Toute cette histoire de double personnalité le perturbait toujours autant. Et, à chaque fois, il refusait les avances du jeune homme, sentant que s’il devait y succomber, cela équivaudrait à trahir Pierre. Il ne pouvait se résoudre à faire une chose pareille. Il savait que Pierre et Eden était la même personne, mais c’était de Pierre dont il était amoureux, c’était avec Pierre qu’il sortait, c’était à Pierre qu’il avait envie de faire l’amour et non à son substitut. Et sur ce point, il lui était de plus en plus difficile de se retenir. Il faisait preuve d’une grande patience à l’égard de son compagnon mais commençait à se sentir abusé par ce dernier. Quand se déciderait-il à franchir le pas ? Avait-il l’intention de le franchir ? Ils avaient tout les deux la trentaine passée et bien que Marc l’aimât, il ne pouvait se contenter de cet amour semi-platonique. Il ne savait pas trop comme qualifier leur relation. Étaient-ils un couple ? Étaient-ils amis ? Leurs rapports étaient ambigus et ce, depuis trop longtemps. Aussi, Marc décida qu’il était temps d’agir et de confronter Pierre sur ses propres sentiments.
Un samedi soir, alors qu’ils étaient entrain de regarder un film, assis sur le canapé, dans l’appartement du blond, Marc débuta une approche en caressant la nuque de son compagnon. Avec douceur, il l’amena à se tourner vers lui et l’embrassa tendrement. Pierre répondit avec timidité à son baiser. Leur langue se joignirent, s’enlacèrent, se caressèrent. D’une main assurée, le brun se glissa sous la chemise de son partenaire, qui instantanément, cessa de l’embrasser et s’écarta de lui.
« T’as pas soif ? » demanda ce dernier. « Je vais aller nous chercher un truc à boire. »
Pierre répétait son schéma habituel. À chaque fois que son ami se risquait à un geste trop intime, il fuyait et Marc le laissait faire. Mais cette fois-ci, ce fut différent. Le brun empêcha son compagnon de se lever.
« Pierre !
Marc ?
Faut qu’on en parle.
Parler de quoi ?
De sexe. Ça fait un mois.
Je sais, » répondit le blond en baissant la tête, gêné.
« Tu n’y penses jamais ? Tu n’en as pas envie ?
Si, bien sûr. Mais je ne suis pas prêt.
Oh ! Je t’en pris. Tu n’es pas une gamine de seize ans.
Merci pour la comparaison, » s’irrita Pierre en relevant la tête.
« De quoi as-tu si peur ?
À ton avis ?
Que je te fasse mal ou un truc dans le genre ? Parce que c’est ridicule. Et si c’est à cause de ce que pourrait penser les gens, c’est pire.
Tu vas bien toi ! T’es habitué à tout ça. Pas moi ?
Arrête ! Sérieux. Tu parles comme un ado. On est des hommes, bon sang. On n’a de compte à rendre à personne. Puis, de toute façon, ça regarde qui, ce qu’on fait tout les deux.
Je sais. Tu as raison. Mais j’ai du mal à me faire à l’idée.
Ok ! Alors, on fait quoi ? On continue à se comporter comme deux ados timides ou tu vas enfin accepter à faire l’amour avec moi ? »
Pierre lança un regard indescriptible à son compagnon qui le prit comme une invitation à l’embrasser. Mais le blond le repoussa.
« Arrête !
Oh ! J’en ai marre de tes hésitations. Je rentre chez moi.
- Quoi ? Alors c’est comme ça ? Soit on couche ensemble, soit tu t’en vas.
Mais arrête ! Je pense que j’ai été pas mal patient jusqu’à maintenant. Tu ne peux pas me reprocher d’avoir envie d’être avec toi. Alors quand tu te serras décidé sur ce que tu veux faire, tu n’auras qu’à venir me voir. En attendant, je te laisse réfléchir.
Sur ces mots, Marc prit son manteau et claqua la porte derrière lui, laissant un Pierre attristé. C’était leur première dispute et que cela ait un rapport avec le sexe rendait leur relation instable. Le blond savait que son compagnon avait raison. Il savait qu’il l’avait fait bien trop attendre. Mais le sexe avec un homme était tout de même autre chose que le sexe avec une femme. Puis, Pierre se doutait bien que Marc était du genre actif. Il trouvait ridicule de penser à cela. Après tout si des hommes faisaient l’amour, c’était sans aucun doute qu’il y avait du plaisir à en tirer. Pourtant, tout cela l’effrayait. Il se savait stupide d’hésiter autant. Il s’était rendu compte qu’il aimait Marc et l’idée de le perdre lui brisait le cœur. Il avait envie de lui autant que son compagnon et pourtant, il n’arrivait pas à franchir le cap. Peut-être que le brun avait raison ? Peut-être agissait-il comme une adolescente de seize ans, après tout ?
Plus il y réfléchissait, plus il se rendait compte qu’il avait réagi de manière irrationnelle. Quel mal y avait-il à faire l’amour à l’homme qu’il aimait ? Sans même attendre d’avantage, il se leva, prit son imperméable et ses clefs de voiture, avant de sortir de chez lui en trombe. Il se précipita chez Marc, qui, visiblement, venait juste d’arriver et s’appétait à aller se coucher.
« Et, ben. Ça a était rapide, » fit le brun en ouvrant le porte.
Il se détourna du nouveau venu qui entra dans l’appartement et ferma la porte derrière lui.
« Écoute, » fit Marc en faisant face à son ami. « Je suis désolé, je n’aurai pas du te pousser comme ça. C’était ridicule de m’énerver ainsi et… »
Pierre le coupa en l’embrassant passionnément. Lui aussi avait trop attendu.
« Je n’ai pas envie de te perdre, alors fais-moi l’amour, » dit-il alors qu’ils reprenaient leur souffle après leur baiser enflammé.
Mais Marc le repoussa.
« Ne sois pas ridicule. Tu ne vas pas me perdre et je n’ai pas envie de te forcer à faire quelque chose dont tu n’as pas envie. Tu devrais rentrer chez toi et on en reparlera demain, d’accord ?
Non. J’en ai envie. Je suis désolé de t’avoir autant fait attendre, mais tu avais raison. J’ai été ridicule. J’ai vraiment envie de toi. On a assez attendu comme ça. »
Pierre fit une nouvelle fois un pas vers son compagnon et l’embrassa. Ce dernier ne le repoussa pas. Sans cesser de l’enlacer, il l’amena jusqu’au canapé et l’y fit basculer. Allongé sur le blond, Marc faisait attention aux moindres de ses gestes, évaluant à chaque instant, les réactions de son partenaire. Il glissa une main chaude sous la chemise de Pierre qui frissonna à son contact, mais ne l’arrêta pas. La seule pensée qu’il allait enfin pouvoir lui faire l’amour réussissait à l’exister. Il avait tellement attendu. Pierre devait sentir son membre durcie appuyer contre sa cuisse. Il ne sembla pas s’en effaroucher.
Marc quitta les lèvres de son aimé et l’embrassa dans le cou. Il suçota la chair tendre, la mordit doucement, la lécha lascivement, la marqua tandis qu’il remontait sa main sur le torse viril de Pierre. Il caressa l’un de ses tétons qui pointait sous son contact. Son partenaire frissonnait sous ses doigts mais il ne s’arrêta pas pour autant. Tant que le blond ne le repousserait pas, il continuerait. Il commença donc à déboutonner la chemise de son compagnon et en écarta les pants. Il fit glisser ses lèvres sur cette poitrine libérée. Lentement, il amorça une descente subtile. Il embrassa le téton, déjà excité, de Pierre qui gémit. Il le chatouilla de sa langue, le mordit.
Le brun fit glisser sa main entre les cuisses de son ami. Il massa son sexe à travers le tissu de son pantalon, le sentant grossir dans sa main. Puis, Marc s’engagea à défaire la ceinture ainsi que le zip du pantalon de son compagnon. Le membre gonflé de Pierre tirait sur le tissu de son sous-vêtement. Le brun le libéra alors que ses lèvres descendait jusqu’au nombril de son aimé. Il lui jeta un regard afin de s’assurer de son consentement. Pierre avait les yeux fermés et se mordait la lèvre inférieure. Il ne cessait de trembler d’appréhension. Marc hésita à poursuivre. Peut-être n’était-ce pas ce que Pierre désirait ? Peut-être se forçait-il à le laisser faire ? Il releva la tête, et le blond ouvrit les yeux et le regarda.
« Pourquoi tu t’arrêtes ? » demanda-t-il.
Marc se releva sur ses bras et ses genoux, puis se pencha sur lui pour l’embrasser pudiquement.
« On devrait peut-être s’arrêter là.
Pourquoi ?
Tu es sûr que c’est dont tu as envie ?
Oui.
­­- Alors pourquoi tu trembles comme une feuille dès que je te touche ?
­­­- Je ne dis pas que toutes mes appréhensions ont disparu, mais j’en ai envie.
Je n’ai pas envie de te forcer.
Mais tu ne me forces pas. Puis, tu vas pas me laisser comme ça ? »
Marc baissa les yeux sur le sexe érigé de son compagnon et sourit. Il embrassa profondément son partenaire et attrapa son membre gonflé. Doucement, il commença à le branler. Le brun sentit un liquide chaud couler sur sa main tandis que Pierre gémissait dans sa bouche. Il accéléra le mouvement de ses doigts sur le phallus suintant. Le blond lâcha ses lèvres dans un cri roque de jouissance alors qu’il se libérait. Marc embrassa le visage fiévreux de son ami dont la respiration était haletante. Ce dernier l’enlaça et lui prit les lèvres.
Tandis qu’ils s’embrassaient, Pierre fit glisser une de ses mains jusqu’au sexe de son partenaire avec hésitation. Il défit les boutons de son jeans et Marc ne l’arrêta pas alors qu’il libérait son excitation de son boxer. Le blond la prit et la branla en mimétisme de ce qu’on venait de lui faire. Puis, ce fut autour du brun de se libérer dans la main tremblante de son compagnon dans un râle d’extase. Marc s’effondra sur son compagnon, essoufflé. Il l’embrassa tendrement. Pierre glissa une main sous le pull du brun et lui caressa le dos avec douceur.
Marc cessa de l’embrasser et attrapa une couverture posée sur l’un de fauteuil afin de les en recouvrir. Puis il glissa du corps du blond afin de ne pas l’écraser. Il l’encercla de seq bras et l’embrassa à nouveau. Il se sentait épuisé. Ses yeux commençaient à se fermer tous seuls.
« Quoi ? C’est tout ? » demanda Pierre surpris par les agissements de Marc.
Ce dernier sourit à son bien-aimé et lui caressant le visage.
« Tu t’attendais à quoi ? Tu pensais que j’allais te prendre par derrière avec violence dès la première fois ? Mais si c’est ce que tu veux, je peux le faire.
Non, c’est bon. Alors tu ne voulais pas plus que ça ? »
Le sourire de Marc s’accentua.
« Tu as aimé ? »
Pierre acquiesça timidement pour répondre.
« Alors c’est tout ce que je voulais. Je t’aime, » ajouta-t-il en l’embrassant avec tendresse.
« Moi aussi, » répondit le blond dans un sourire.
Ils continuèrent à s’embrasser avec douceur jusqu’à ce que leurs paupières se fermassent. Enlacés dans les bras l’un de l’autre, ils s’endormirent. Puis, Marc sentit le plaisir l’envahir. Doucement, il ouvrit les yeux pour voir Eden lui sourit. Ce dernier le branlait lascivement. Étrangement, Marc n’avait aucun mal à faire la différence entre les deux personnalités. En un mois, il s’était habitué à être réveillé de cette manière à chaque fois qu’il s’endormait aux côtés de Pierre. Il repoussa la main qui le caressait.
« Arrête, Eden ! »
Le jeune homme blond se positionna sur son coude et regarda le trentenaire d’un air coquin.
« Vous n’avez rien fait, » dit-il plus comme une affirmation que comme une question. « Ne me dis pas que tu peux te contenter d’une petite branlette.
Eden ! Tu es vulgaire. Puis, tu ne devais pas disparaître ?
Si. En fait, c’est la dernière fois que tu me vois. Alors tu peux me dire qu’en est-ce que tu comptes le prendre, » fit le jeune homme dans un sourire narquois.
« Sûrement pas. »
Eden ria. Il adorait voir Marc, habituellement si sûr de lui, aussi mal à l’aise. Puis, son visage devint plus grave.
« Tu prendras soin de lui, hein ? »
Marc fut attendrit par le regard inquiet et enfantin du jeune homme. Il passa une main paternelle dans ses cheveux et caressa sa joue de son pouce.
« Ne t’en fais pas pour ça. Je prendrais soin de lui. Je te le promets. »
Eden eut alors un sourire triste et déposa un chaste baiser sur les lèvres du trentenaire.
« Au revoir, Marc.
Au revoir, Eden. »
Puis, Eden se rallongea et ferma les yeux. Il se rendormit. Marc regarda le visage assoupi de Pierre avec amour. L’autre avait disparu.


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Basé(e) sur une œuvre à lespetiteshistoiresdeloalann.blogspot.com.

19 commentaires:

  1. Alors, histoire finie, heureuse ^^ ?

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  2. Ouais enfin. Elle m'énervait vraiment cette fiction et j'ai un peu l'impression de l'avoir bâclée. J'espère que ça ne se voit pas trop ou si c'est le cas, j'espère que vous ne m'en voudrez pas trop.

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  3. Je ne la trouve pas bâclée cette fic. mais c'est vrai que ce n'est pas la même atmosphère que celle qu'on trouve dans tes autres histoires.

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  4. Je pense que j'ai dû atteindre mon niveau de compétences maximum. Je me suis lancé dans un truc sans vraiment savoir ce que je faisais et je trouves que j'ai construit le caractère de mes personnages de manière trop tranchée. Ce que je veux dire c'est que normalement, ils n'auraient jamais pu finir ensemble et que j'ai un peu forcé les choses pour que ça se finisse ainsi, parce que c'était le but. Je pense que j'ai mal calculé mon coup, sur ce coup là. Enfin, espérons que je fasse mieux la prochaine fois.

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  5. mais non mais non c'était bien =) ( & c'est tant mieux qu'ils finissent ensemble =D )

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  6. Je ne cherche pas les compliments ou quelque chose comme ça, c'est juste que, personnellement, je suis déçue de ce que j'ai fait. Maintenant, si ça plaît, tant mieux. Je ne vais pas m'en plaindre, bien au contraire, j'en suis ravie.
    Mais merci de ton soutien.

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  7. Au risque de me prendre des pierres, je suis aussi un peu déçue. Ca commençait vraiment bien, et puis... je sais pas... ça s'est essouflé.

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  8. Je sais et je ne te lapiderai pas pour ça. J'ai arrêté cette fiction en plein milieu parce que je n'y été plus, et je l'ai fini pour ne pas la laissé inachevé, mais le cœur n'y été plus. Donc moi aussi je suis déçu de ce que j'ai écris. Désolé...

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  9. Je pense que si elle est moins bien que d'autres que tu as pu écrire c'est parce qu'on en sait pas assez sur la relation entre Eden et Pierre et que tu ne prends pas assez ton temps du coup
    1) tu perds en "épaisseur"
    2) on a ce sentiment comme dans les contes pour enfant où tout doit absolument finir bien ce qui donne ce sentiment de "baclé"
    maintenant je me tompe peut-être et j'espère que moi non plus je vais pas me prendre des pierres mais sinon Pierre est touchant et Marc aussi est plustôt bien

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  10. C'est un point de vue respectable. Et je suis la première à l'admettre, ce n'est pas la meilleure que j'ai pu écrire.
    Par contre, je ne comprends pas une chose. Est-ce que j'ai l'air d'être un dragon qui n'accepte pas les critiques. Je n'ai jamais lapider personne (sans de bonnes raisons du moins);)

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  11. non c'est plus une blague ne t'en fais pas, de toute façon là où on est on ne risque pas grand chose ^

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  12. Coucou désolé mais je vais surement te décevoir mais moi j'ai trouvé cette fic.... EXTRA j'ai adoré !! je comprends pas pourquoi tu dit l'avoir bâclée au contraire c'est bien écrit, bien que l'on ne comprenne pas vraiment au début passé le 2ème chapitre tout se joint et honnêtement j'ai aimée !! Même si cette histoire n'as pas le même ton que tes autres fic (que bien sur je m’apprête à lire ) on ne peux pas dire qu'elle manque d'originalité !!

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  13. Mais de rien. C'est moi qui te remercie de m'avoir lu et de m'avoir laissé un commentaire.

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  14. C' était génial !! Waahh ! vraiment j' ai adoré (pour l'histoire de la double personnalité, j' ai vraiment été surprise) Donc voilà : Merci. T' as des projets pour de nouvelle fics ?

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  15. Bonjour,
    je viens de découvrir votre blog et j'ai trouvé cette histoire très originale, car c'est la 1ère fois (en tout cas pour moi) que je lis une histoire M/M avec ce thème de double personnalité. Au début j'étais perplexe, je me demandais qui était Pierre pour Eden et pourquoi il recherchait quelqu'un pour Pierre son 'bien-aimé' et j'ai été agréablement surprise de découvrir le fin mot de l'histoire.
    J'ai adoré cette histoire et je trouve que la façon dont vous amenez le lecteur à découvrir qui est vraiment Eden tout à fait épatant. Par contre, j'aurais aimé que la fin soit un peu plus développé, avoir un genre d'épilogue.
    En tout cas j'ai passé un bon moment à le lire. Merci et au plaisir de lire vos autres histoires.

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    1. D'abord sur ce blog, on se tutoie. On ne se connaît pas donc à bas les formalités d'usage!
      Sinon merci beaucoup pour ce commentaire. Je suis désolée que la fin t'ai semblé trop rapide. Mais j'avoue que je ne saurais pas la reprendre.
      En tout cas, merci et j'espère que mes autres fictions te plairont tout autant.

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